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Durant le XVIII° siècle en France la vielle à roue suscite un fort enthousiasme. Paris est la capitale
culturelle et sociale qui influence toute l’Europe, et les luthiers doivent faire face à une demande
d’instruments de plus en plus importante. Nous proposons dans ces pages de dévoiler un grand nombre de
ces instruments, des plus somptueux aux plus modestes, certains authentiques, certains en copies, et
d’autres des contrefaçons…
En français, en vente chez l’auteur : un ouvrage en couleurs de 54 pages, montrant plus de 30
instruments, 24cm x 17 cm, nombreuses photos couleurs, couverture souple, au prix de 40 € + le port (10
€ pour la France, 15 € pour l’Europe, 20 € pour le monde). Pour commander, contactez : Sinier de Ridder |
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Qu’elle ait été « napolitaine » à « 4 chœurs », ou « milanaise » à « 6 chœurs », c’est bien la mandoline
française que nous souhaitons présenter dans cet ouvrage. Deux musicologues, virtuoses et historiens de
la mandoline, Jean-Paul Bazin et Alex Timmerman qui ont accepté de nous accompagner dans notre démarche.
En vente chez l’auteur au prix de 50 € + le port (10 € pour la France, 15 € pour l’Europe, 20 € pour le
monde). Un ouvrage en couleurs de 84 pages, montrant plus de 75 instruments. Une traduction en anglais
est disponible sur demande. Pour commander, contactez : Sinier de Ridder |
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Ce livre écrit par Francoise de Ridder, Daniel Sinier et Jérôme Casanova retrace l’histoire de la guitare espagnole depuis ses origines jusqu’en 1950. Quatre-vingt-quinze instruments historiques y sont présentés, jamais vus pour la plupart, modestes ou luxueux, typiques d’une époque, d’un répertoire mais surtout d’un pays et d’une culture. On y voit notamment les guitares de Durán, Sanguino, Pagés, Benedid, Pernas, Torres, Santos Hernández, Fleta. Françoise de Ridder, Daniel Sinier et Jérôme Casanova vous font partager leur passion et leurs années d’expérience.
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Ce livre mise se veut une mise à jour, un complément au précédent volume consacré aux guitares faites à Paris entre 1650 et 1950. Depuis l'écriture de ces textes environ dix ans ont passés. Certains instruments nous sont revenus pour l'entretien ou la surveillance, d'autres nous ont été confiés pour les restaurer, et d'autres encore, totalement nouveaux, sont apparus après ces publications aux fins d'expertises et de restaurations. Bref de nouveaux instruments sont passés par l'atelier. Il nous a paru alors qu'une mise à jour était nécessaire et qu'il nous fallait communiquer sur ce que ces nouveaux instruments nous avaient appris. |
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Altimira, Aubry Jacques, Aubry-Maire, Beau Simon, Bonnel Joseph, Breton François, Brugère François, Cabasse-Visnaire, Calot Joseph, Charpentier Auguste, Coffe-Goguette, Collin Hyppolite, Deleplanque Gérard, Denis Nicolas, Derazey Honoré, Didier Nicolas, Grobert Nicolas, Lajoue, Lambert, Leblanc Claude, Marcard Pierre, Mast Jean Laurent, Mauchant frères, Mauchant-Rouvier, Nicolas Didier l'Aîné, Otte Charles, Petitjean, Pons César, Roudhloff fils, Roudhloff François, Salomon Jean François, Thibouville-Lamy Jérome, Thouvenel, Tranchet, Vissenaire Nicolas. |
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Après le livre sur les guitares parisiennes, nous voulons rendre hommage aux luthiers des autres régions de France et à leurs talents. Nous avons, durant nos 40 ans de carrière, examiné des guitares fabriquées à Lille, à Lyon, à Troyes, à Toulouse et à Bordeaux, mais surtout un nombre considérable de guitares faites à Mirecourt et dans sa région. Mirecourt est un petit village des Vosges pour lequel le Duc de Lorraine crée en 1732 une « charte de corporation » qui va légiférer et gérer les usages professionnels pour une activité alors en plein essor. Souvent anonymes, faisant appel à des techniques de fabrication plus imaginatives que luxueuses, les instruments fabriqués à Mirecourt sont appréciés dans le monde entier et ont su imposer leur style particulier. Nous avons tenté de décrire le fonctionnement social et professionnel d'une région entièrement consacrée à la valorisation d'un produit : la lutherie. Nous avons eu envie de raconter comment ces hommes pauvres des Vosges rurales mais déjà industrieuses ont mis en place dès le 18e siècle un formidable maillage professionnel qui maîtrisait de façon autonome toutes les étapes de la fabrication des instruments ; du négoce du bois à l'apprentissage des jeunes, jusqu'à la finition, le montage et la revente des instruments et de leurs accessoires, en exploitant un réseau solidaire de colporteurs et négociants chargés de placer les instruments terminés dans les ateliers les plus prestigieux tant en France qu'à l'étranger. Nous nous sommes attachés à ces luthiers qui, pour répondre à une très forte demande, ont fabriqué des milliers d'instruments de musique qu'ils n'ont pas signé, laissant ce soin aux revendeurs ou à leurs collègues établis dans les grandes villes. Ils ont contribué largement au rayonnement de la lutherie française par les qualités de leurs instruments, même si, pour des raisons commerciales, ils ont préféré rester modestement reclus dans un anonymat feutré et familial. Ce sont leurs guitares que nous aimerions vous faire connaître. |
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Robert Bouchet Jean Joseph Coffé Gaudet pour Lucien Gelas Joseph Gérard Julian Gomez Ramirez Nicolas Grobert Huel Charles Jacquot René Lacote Jean Nicolas Lambert Étienne Laprévotte François et Nicolas Lupot Mario Maccaferri pour Selmer Nicolas Mareschal Guillaume Martin Pierre Michelot Olry Ory César Pons Joseph Pons Louis David Pons Renault & Chatelain Edmond Saunier Selmer Joseph Serdet Charles Valance Alexandre Voboam Jean Voboam Jean-Baptiste Vuillaume |
La guitare est probablement l’un des instruments de musique le plus joué et le plus fabriqué dans le monde. |